23 janvier 2010
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Un roman, un poème, un conte, un chant, un envoutement, un poison qui
se propage, un feu qui bien qu’ardent ne pourrait aujourd’hui
rechauffer un cœur glacé dercé d’illusions.
Exaltée face aux plaisirs, j’ai baisser ma garde jouissant
pleinement de la pureté de ce poison, inofenssif et rassurant je ne
pouvais me douter qu’un jour il me nuirait…
Lorsque la romance laisse place à la tragédie, c’est bien
l’affaiblissement qui fait courber l’échine avant le baisser de
rideau. Je n’entends d’applaudissements, de rires, ou
d’euphorie…
Ma plume glisse, mais crisse, une exquise douleur me pousse à conter
ce qui fut mon plus beau malheur. Des images, des mélodies, des
parfums, des lieux, des souvenirs voilà l’héritage de ce que je
pensais immortel.
On ne choisit d’aimer ou de cesser d’aimer, pas plus qu’on ne
choisit de naître ou de mourir ! Pourquoi les larmes d’amour doivent
être altérées sous pretexte qu’un jour il sera remplacé ?! Son
absence me pèse c’est un fait, que cela déplaise est une plaie.
Il était ma moitié, on ne peut feindre que seule je suis tout aussi
forte qu’auparavant. Privez le soleil de ses rayons et demandez lui
de luire… Privez moi de lui et ordonnez moi de sourir.
Publié le 13/07/2008 à 14h11 dans Mes pensés
se propage, un feu qui bien qu’ardent ne pourrait aujourd’hui
rechauffer un cœur glacé dercé d’illusions.
Exaltée face aux plaisirs, j’ai baisser ma garde jouissant
pleinement de la pureté de ce poison, inofenssif et rassurant je ne
pouvais me douter qu’un jour il me nuirait…
Lorsque la romance laisse place à la tragédie, c’est bien
l’affaiblissement qui fait courber l’échine avant le baisser de
rideau. Je n’entends d’applaudissements, de rires, ou
d’euphorie…
Ma plume glisse, mais crisse, une exquise douleur me pousse à conter
ce qui fut mon plus beau malheur. Des images, des mélodies, des
parfums, des lieux, des souvenirs voilà l’héritage de ce que je
pensais immortel.
On ne choisit d’aimer ou de cesser d’aimer, pas plus qu’on ne
choisit de naître ou de mourir ! Pourquoi les larmes d’amour doivent
être altérées sous pretexte qu’un jour il sera remplacé ?! Son
absence me pèse c’est un fait, que cela déplaise est une plaie.
Il était ma moitié, on ne peut feindre que seule je suis tout aussi
forte qu’auparavant. Privez le soleil de ses rayons et demandez lui
de luire… Privez moi de lui et ordonnez moi de sourir.
Publié le 13/07/2008 à 14h11 dans Mes pensés