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19 septembre 2016 1 19 /09 /septembre /2016 10:54

Nos peurs ne sont que le reflet de notre enfant intérieur, surmonter ces peurs demande de prendre conscience qu'aujourd'hui, ici et maintenant je suis adulte.

Les peurs de mon enfant font partie du passé je suis un adulte je n'ai plus les mêmes peur parce que aujourd'hui je suis capable d'agir et je ne subis plus.

Nos réactions vives, nos sentiments exacerbés et nos réactions démesurées sont les expressions de ces peurs d'enfant qui échappent à la maîtrise de l'adulte par le manque de conscience qu'il n'est plus un enfant.

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19 septembre 2016 1 19 /09 /septembre /2016 09:53

Plus tu prends conscience des choses, plus tu prends conscience de tes capacités à comprendre les choses.

Tu commences à avoir foi en toi et tu te dis que les modèles que tu admirais et que tu voyais comme étant inaccessibles le sont en réalité.

Si ces personnes ont eu accès à un tel niveau de connaissances, de conscience et de compétences il n'y a aucune raison que tu n'en aies pas autant.

Et là tu te dis pourquoi pas moi pourquoi? Pourquoi est-ce que je serais inférieur à cette personne que j'admire?

Pourquoi est-ce que moi je ne pourrais pas arriver à ce niveau si je m'en donne les moyens, que j'y travaille, j'en suis capable tout autant que lui, aussi je suis capable d'être admirable si je le souhaite et selon ma conception.

Si toutes ces personnes sont capables de suivre des règles et un modèle qui les propulse au-delà de leurs limites il suffit simplement d'analyser leurs façons de faire, leurs mécanismes d'estime, leur courage, leur foi en eux-même, de la reproduire et de s'en imprégner, de comprendre que c'est un bien fait et de l'adopter.

C'est comme si on devenait capable dans chaque situation face a un souhait ou à une peur de se dire "et alors je suis capable si je le veux maintenant il va falloir que je trouve les moyens pour y arriver" et ce qui paraît difficile est encore plus valorisant lorsqu'on y parvient. On devient courageux, qu'est-ce que le courage si ce n'est la croyance que c'est accessible malgré la difficulté et qu'on en est capable. Et là tout devient possible...

Le nouveau dialogue intérieur devient "je le veux c'est un bien pour moi alors je vais le faire, parce que j'en suis capable et que je le mérite."

Au final ça revient à ne plus croire que ce que l'on veut est inaccessible, mais qu'au contraire tout est possible!

On est capable de dépasser les limites qui nous semblent être des vérités ancrées et incontournables!

Nous sommes les créateurs de nos propres limites, soyons-en leurs détracteurs et bâtissons le chemin de notre épanouissement.

Sur ce chemin sachez que vous vous retrouver face à vous-même et une fois que vous parviendrez à vivre en paix avec votre propre personne, alors vous pourrez l'être avec les autres.

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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 12:00


Le sens de la difficulté n'est pas son contenu mais la façon dont on la surmonte.

La difficulté nous pousse à nous dépasser, comme un instinct de survie. Elle est un mal lorsqu'elle nous touche et un bien lorsqu'on la dépasse.

Les bénéfices de la difficulté sont : une meilleure connaissance de soi, une découverte de notre potentiel et de notre endurance.

Y être contraint n'est donc pas une fatalité mais une perspective d'évolution, un moteur au développement et à l'apprentissage.
Lorsqu'elle est affrontée elle est une nourriture pour l'estime de soi.

L'acceptation, l'effort, la solution, l'apprentissage, l'enrichissement et l'application.

J'en prends conscience et je l'accepte.
Je m'efforce et je l'affronte.
Je la surmonte, j'en apprends.
J'en suis plus fort et je m'en sert.

J'avance.

J'évolue.

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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 11:57

"Être ou ne pas être là est la question".

Shakespeare a marqué tant d'esprits, mais pourquoi cette question s'est-elle imposée comme existentielle?

"Je pense donc je suis" à également su s'imposer comme une citation culte toujours portée sur "l'être".

Je pense que ces mots raisonnent depuis 3 siècles car le développement personnel de chacun passe par la définition et la connaissance de l'être sous divers angles de vision.

Ces préoccupations sont nées avec nos libertés, au 18ème siècle dit siècle des Lumières. Lumières de l'esprit avant tout, donnant de la valeur à nos pensées et légitimant notre liberté de penser et de percevoir. La liberté de développer ses propres idées indépendamment d'un mouvement ou d'un gouvernement.

Siècle de la Déclaration des Droits de L'homme en 1789, un tournant capital dans l'histoire française. Des novateurs audacieux ont su s'imposer et défendre leurs droits.

Le principe étant que l'existence entière d'une personne passe par une pensée propre basée sur ces croyances réelles et non par l'adhésion à des croyances imposées et pour la plus part limitantes.

Pourquoi ont-ils dû se battre pour ce qui nous semble aujourd'hui évident?

Cela va de soi, les citoyens dociles et manipulables étaient bien plus profitables aux monarchies et au pouvoir absolu d'une minorité.

Nous voilà au 21ème siècle, alors que nous devrions profiter de notre liberté d'être, j'ai l'impression que grand nombre préfèrent ne pas être... Autrement dit, préfère se conformer à n'être que ce que nous attendons d'eux. De dociles victimes des clichés et des multiples manipulations médiatiques, commerciales, politiques... Dans le seul but de ne pas être marginalisés.

Marques, groupes d'appartenances, soi-disantes richesses éphémères au détriment de réelles richesses qui ne sauraient légitimer leur valeur dans la société actuelle.

Combien de personnes disent se battre pour leur liberté alors qu'ils courbent l'échine devant le conformisme pour "exister"?

"Illuminée" vous me direz, certainement... Pardonnez-moi de ne pas être obnubilée par le culte de la beauté visible par tous... De ne pas être en admiration devant des femmes qui prétendent jouir de leur liberté en s'exhibant dans les médias.

L'ironie est bien lorsque ces mêmes femmes qui alimentent une image de "femmes objets" nues dans des cages disent vouloir être respectées alors qu'elles sont responsables de leur déshumanisation. Faudrait-il encore qu'elles se respectent elles-mêmes...

Quelles valeurs sont transmises aux prochaines générations? C'est la question que je me suis posée l'autre jour en regardant une publicité pour un appareil de musculation.

Le slogan : "Mesdames, messieurs, aujourd'hui on vous juge pour votre apparence. Eh bien il est temps de sculpter la vôtre!" suivi du témoignage d’un "Mr muscles" : "Grâce à cet appareil j'ai pu sculpter mes abdos et j'ai enfin trouvé ma princesse!"

Mais quelle belle philosophie! Pourvu que nos enfants prennent notes et inscrivent ces profondes paroles dans leurs valeurs primaires. Assurons-nous qu'elles soient ancrées dans leur cadre de référence et qu'ils s'appuient sur ces vérités saines. Ainsi ils deviendront des adultes équilibrés avec un esprit sains dans un corps sain...

Assez!

À quel moment communiquera-t-on des réflexions stimulantes visant à nous accompagner dans notre développement personnel?

« Hein...?"Développement personnel" qu'est-ce? Vous vouliez certainement dire "développement professionnel" c'est bien ça? Ce qui peut développer notre richesse pécuniaire qui fera notre bonheur n'est-ce pas...? Le développement intellectuel nous aurons tout le temps de l'acquérir quand nous serons âgées et sages. Que peut bien nous apporter la sagesse avant? Tous ces blablas c'est ennuyant et puis ça demande trop de réflexions... Sans parler du changement loin de nos croyances collectives. Laissons les autres penser pour nous, c'est tellement plus simple, laissons-nous porter... Que c'est bon de profiter de nos libertés de moutons, dans ce confortable enclos!

Bougres d’ignares… Ou pauvres de vous…

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16 juin 2014 1 16 /06 /juin /2014 15:50

Dis-moi petite, sais-tu que la passion se ressent et se vit,

Elle ne se créée, ne se simule, ne se conditionne…

Toi qui est si passionnée, pourquoi ne te satisfais-tu pas de la passion qui t’habite et t’anime ?

Les montagnes, les nuages, les eaux, les sourires, les odeurs, les sons, les mots, les belles âmes…

Tant de sources et pourtant, tu es toujours présente le visage humide les paumes aux genoux, le regard baissé et continuellement blessée.

Je sais que tu essaies de me suivre, tu feintes la force et relève la tête trop lourde.

 

Je pensais te guérir, ton visage entre mes mains, ma main passant dans tes cheveux, tu n’as plus de raisons d’avoir peur ça ira…

Ne désespère pas, ta peine te nourrit, vois, ça ira…

Arrête de penser que ça se reproduira, aies foi et souviens toi que la foi est plus forte que tout !

Cette foi que tu ne connaissais pas, laisse-moi te la transmettre.

N’évite plus les miroirs, ne reste plus dans le noir.

 

Je sais que tu existes, je ne veux pas que tu disparaisses, je veux qu’on puisse vivre ensemble et que tu crois en ce que je crois aujourd’hui…

Tu es fataliste tandis que je suis optimiste, seulement je te connais mieux que quiconque et je sais qu’une part de rêve bien qu’entachée a toujours existé en toi.

Je ressens ta peine et elle m’affaiblit quand je gravis.

Ta colère me frappe dès que je baisse ma garde,

Si les aléas me détournent, ils m’affaiblissent et c’est elle, colère, qui prend place, elle me possède me contrôle et me fait mal…

 

Ils ne te connaissent pas, mais lui et moi sommes là pour te relever et panser tes blessures.

Non, tu ne le méritais pas, oui c’était injuste, mais c’est fini.

Vois ce qui t’attend, ce qui fut t’a fait, mais tu n’en es pas prisonnière.

Je ne t’accuse pas, mais je ne peux avancer si j’entends tes sanglots et ressens ton irascibilité.

 

M’en voudrais-tu de ne pas t’aimer… ? Pardonne-moi… J’essaie…

J’ai conscience que je suis dure avec toi et que je n’arrive pas à te voir belle, à te voir forte, à te voir saine.

Mais comprends-moi toi aussi, je te perçois comme on t’a défini depuis que je te connais.

Si on a que ce qu’on mérite comment avoir un avis positif sur toi, ton impuissance…

Parfois j’ai de la peine pour ce que tu as traversé, parfois cette peine se transforme en colère, celle que tu me transmets…

 

Pardonne-moi de t’appeler « démon » je te promets de faire mon possible pour ne plus te percevoir comme tel…

Je vais prendre soin de toi, bien que je ne sache pas comment faire, je le veux… Il n’est pas loin ne t’inquiète pas. Il m’a fait prendre conscience que j’étais trop rude avec toi et que tu avais assez souffert pour que je te flagelle et t’accuse de mon incapacité à prendre du recul dans certaines situations… Je vais accepter qu’il faille du temps, patienter et être forte pour que la paix règne.

 J’aimerais te dire « donne-moi de ta peine » pour ne plus la porter seule mais nous ne sommes qu’une.

Je te dirais donc qu’il faut que tu me croies quand je te dis que comprendre le sens aide à comprendre les conséquences.

Tu n’es qu’une enfant qui a vécu des choses sans en connaître le sens et sans savoir évaluer ta part de responsabilité.

 « Prends de mes connaissances, donne du sens et libères-toi de ces croyances, nous avons le droit au bonheur. Comprends, maîtrise, agis, vis…».

 

Le mercredi 21 mai 2014

 

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6 mai 2014 2 06 /05 /mai /2014 10:07

Ne laisse personne faire de son jugement une de tes croyances…

LE BLABLA voit au-delà…

«L'expérience vous dit quoi faire, la confiance en soi vous permet de le faire.»

Et si toutefois vous manquiez de l’essence nécessaire à son acquisition, rappelez-vous qu’outre le fait que le savoir soit un devoir, il est surtout accessible à tous.

Comment avoir confiance en soi? L’estime de soi est une foi en soi.

La foi divine revient à prendre du recul et accepter les faits tels qu’ils sont sans les contester.

Quant au développement personnel, il permet de prendre le recul nécessaire pour accepter qui l’on est.

Or, il ne faut pas perdre de vue que rien n’est figé, le développement permet également l’évolution.

La foi, quelle qu’elle soit apporte une paix intérieure, nous réévaluons, comprenons, nous relativisons et acceptons pour mieux vivre, aussi bien dans l’adversité que dans la félicité.

Mais comment …?

En évitant toute dissension au profit de l’échange, en favorisant la recherche et la découverte  en s’interdisant toute forme de préjugés. En se faisant ses propres idées, ses propres perceptions et interprétations après avoir une réelle connaissance de toute chose.

A la question « pourquoi », ne plus accepter la réponse « c’est comme ça… ». La compréhension amène la maîtrise et la maitrise évite les débordements ou la perte de contrôle de sa personne.

Seulement bien que simple en théorie, je reconnais, non pas la complexité, mais la difficulté du travail que nous avons tous à réaliser à un moment de nos vies sur nous-même.

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26 mars 2014 3 26 /03 /mars /2014 09:57

 Je pense donc suis-je?

Mais comment être, si on ne fait que penser sa vie? La pensée permettrait-elle de dépasser les limites que nous nous fixons afin de vivre pleinement? Les limites ne seraient elles que des mécanismes psychologiques maîtrisables?

Et que fait-ont au-delà des valeurs issues de ces croyances que l'on nous a transmises?

Mais que fait-on des valeurs qui ont touché notre cœur, qui sont ancrées au plus profond de nous-même?  

Que fait-on de la foi? Cette foi sans qui rien n'aurait de valeur à nos yeux?

Peut-on être, en combinant l'accomplissement du réel but de notre vie avec ce qui le freine et s'y oppose?

Comment désirer vivre lorsque l'on sait que quelque soient nos choix, ils ne nous permettrons jamais d'être réellement ce que nous sommes?

À cet instant, je n'ai plus le désir d'accomplir,  de m'épanouir car j'ai conscience que ça n'arrivera pas.

Je vivrai toujours avec ce sentiment de culpabilité de ne pas être ce que je devrais être sous les deux angles de vision...

 

Janvier 2014

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26 mars 2014 3 26 /03 /mars /2014 09:14

Écrire, encore et encore… Laisser une emprunte, exister, penser, partager, transmettre, absorber…

Mes réflexions et perditions rythmes mes journées et mes choix.

Trop de choix lourds de conséquences en suspens.

Être ou ne pas être, une question existentielle et si complexe…

Être ou ne pas être qui ? Être ou ne pas être quoi ?

Être simplement moi… C’est simple me dira-t-on, il suffit de laisser notre instinct et nos envies nous guider cadrés par nos valeurs.

Mais comment définir si notre instinct est bon ? Parviendrais-je à trouver un équilibre et à me développer sainement.

Trop rêveuse et si terre à terre à la fois. Organisée et déstructurée, forte et sensible, innocente et coupable.

Je me découvre, je m’effraye, qui suis-je ? Que vais-je devenir ?

 

Se séparer de son passé pour évoluer, mais comment troquer des souvenirs paisibles bien que faux contre un présent équivoque.

Se séparer de son passé pour évoluer, mais comment se séparer de ces images qui ont conditionné mon esprit à percevoir le monde et à me définir.

Ma plus grande épreuve, ma lutte contre l’atavisme, ma libération. Définir, dissocier, apprendre, penser, peser, agir, pour enfin vivre chaque seconde et ne plus subir le temps.

Développer la conscience que l’idiosyncrasie de chacun n’est pas perceptible par tous, me pousse vers une quête de connaissances qui enrichiront ma conscience  et la compréhension de l’autre.

Ainsi je ne permettrais plus que des personnes malsaines soient une quelconque source dans ma vie. Déceler les intentions, les potentielles conséquences et m’écarter des influences nocives même inconscientes.

 

Plus téméraire que courageuse, il est temps pour moi d’adopter d’autres modes de fonctionnement lors de ma prise de risques, vivre pleinement n’exclue le fait de se protéger et d’entretenir sa stabilité.

Et si j’avais dû refaire le monde en me basant sur mes croyances, à quoi ressemblerait-il ? À quoi ressemblerait une journée parfaite ? Ce sont bien ces questions qui ternissent mes pensées, je refais le monde tous les jours et ces espoirs utopiques désenchantent le réel.

Ce désenchantement n’est que la conséquence de l’exigence prohibitive des Hommes, du culte de la perfection et de la recherche du bonheur.

A trop attendre d’atteindre le bonheur on n’en vient à ne pas vivre ses joies. Bien plus encore, nous n’avons pas même conscience que la recherche du bonheur n’engendrera que la peine.

Mais la peine elle-même est nécessaire, la connaître nous permet de mieux savourer la joie qui suit…

Qui pourra un jour dire « Moi j’ai tout ! La santé, l’intelligence, la beauté physique et intrinsèque l’argent, une famille formidable, des amis formidables, un travail épanouissant et le monde dans lequel je vis n’est peuplé que d’êtres extraordinaires ! Je nage en plein bonheur au quotidien !».

 

L’être humain est imparfait nous le savons tous, ses imperfections peuvent avoir des conséquences sur son prochain et causer du tort, l’être humain n’est pas invincible, il souffre, il meurt même.

Ça ne sont pas des idées, mais des faits, l’idée en revanche est d’en faire une croyance réelle.

 

« Créons nos moments de joie, acceptons nos pleurs pour nourrir notre désir de créer nos rires, décidons de faire une journée une belle journée! Demain ne sera peut-être pas à la hauteur, ou meilleur! Mais nous n’y sommes pas encore… »

 

Mardi 18 mars 2014

 

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26 mars 2014 3 26 /03 /mars /2014 09:10

 Elle la tenait contre elle, douce et capricieuse.

Leurs courbes s’emmêlaient…

Ses doigts la parcouraient tantôt avec douceur, tantôt avec fouge, mais toujours agilement pour créer cet instant qui leur appartenait et lui permettait de s’abandonner.

Ses vibrations l’animaient et la faisaient frissonner…

Sur elle, elle composait une mélodie unique de ses propres mains.

Elles semblaient ne faire qu’une…

Elle lui apportait la satisfaction de savoir qu’elle maîtrisait sa sensibilité aux sons qui caressaient ses sens.

Ces moments de plaisir et d’évasion qu’elles concevaient ensemble enlacées libéraient  et avivaient ces émotions sincères et profondes.

Son âme torturée exacerbait leurs créations passionnées rythmées par les battements de son cœur.

Bien plus qu’une source de plaisir, elle était sa muse, son exutoire, celle à qui elle pouvait tout exprimer sans le moindre mot.

 

Mardi 25 février 2014

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26 mars 2014 3 26 /03 /mars /2014 09:08

Ma main tremble comme hésitante de dévoiler le contenu de mes pensées.

Je considère mes textes comme des parcelles de ma personne, j'y dépose une once de douleur pour l'exorciser ou de joie pour l'immortaliser.

Puis pour laisser place à de nouvelles sensations surprenantes qui me façonneront, mais il reste inévitablement l'essence de ces mots en moi.

Bien que certaines expressions puissent être mélodieuses, j'ai l'impression que les compositions prédominantes sont mélancoliques.

Des émotions si fortes et pourtant indescriptibles, colère, tristesse, dégoût et cette incompréhension récurrente.

Les souvenir écorchent mon esprit et ne lui permettent de se concentrer pour parvenir à avancer sainement.

Les mots se bousculent pour atteindre ma feuille, cohabiter en moi leur est devenu insupportable.

Pourquoi ne suis-je capable de gérer l’emprise qu’à mon environnement sur ma lucidité? La peine en amène une autre.

Je ne suis peut-être pas à la hauteur de mes épreuves, mais leur enchaînement si brutal m’affaiblit et influe sur ma résistance.

Tout abandonner, m’abandonner moi-même en éteignant cet asservissement qui dans le passé à su panser mes blessures et me promet une éternité de sérénité? Ce que la vie n'est en mesure de m'apporter...

Cesser de se battre ? Trouverais-je réellement la paix un jour, la simple idée de me résoudre au mal qui fait de moi ce que je suis me dévaste.

J’aimerais déployer mes ailes et laisser le vent me porter vers la paix comme une évidence, mais comment pourrais-je sans la magie de la foi ?

 

Lundi 24 février 2014

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